Du bazard avec les places : le concert était initialement prévu à Nancy : il semble qu'il y ait eu un cafouillage : normalement les places devaient être remboursées ou échangées avant. Mais certains n'ayant pas réussi à se faire rembourser (en fait ça dépendait des endroits...), sont venus avec leur place de Strasbourg. L'organisation voulant sans doute bien faire, les a fait entrer avant l'ouverture des portes pour faire le changement, mais en les laissant ensuite rejoindre la salle, tandis que ceux qui avaient faits l'échange dans les temps, et qui attendaient parfois depuis le début de l'après midi se retrouvaient à attendre devant les vitres en se voyant dépossédés de leurs premiers rangs tant espéré.

De l'endroit : cette grande salle toute plate, en configuration debout et des gradins tout au fond, avec sa scène pas assez surélevée. Une mauvaise vision et un son pas toujours idéal, bref toujours aussi peu adaptée à la tournée que la précédente date du mois de février...

De l'anecdote sur "Fait divers" qui était en fait une jeune fille qui sortait, à l'époque, avec Laroche Vermont, un pote de Richard.

De "Ex-rat terrestre", dont les paroles échapperont à Jean-Louis et qu'il arrêtera tout sec (la suite c'était "tu vois ton prochain, aussi bien que toi-même", je l'ai hurlé pourtant !! :-)))

De "Juste pour aujourd'hui", qu'il nous expliquera avoir écrit pour sa petite soeur.

Du dernier rappel, ou systèmatiquement Jean-louis tentait "Voilà c'est fini", que le public sifflait. Il nous offrait donc un couplet et un refrain d'une autre chanson et retentait "Voilà c'est fini". Ca c'est quand même reproduit 5 fois cette histoire, au grand désespoir de Jean-Louis qui insistait un peu plus à chaque fois. Pour couper court, il a du nous prendre en traitre en zappant le début et en imposant directement le final. :-))

De la sortie : beaucoup de monde qui attend Jean-Louis sous une pluie battante