J'sais pas qui t'es...
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Nom ou Pseudo : FREDERIC
G.
Sexe :
Masculin
Date de naissance :
19 août 1965
Ville :
Bethune
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Comment as-tu découvert JL ?
En 1980, la fin des cours sur une pelouse en juin, une fille m'a
déposé un Walkman sur les oreilles avec la chanson Tu
vas me manquer. J'ai pas compris le message mais j'ai vraiment adoré
ce morceau puis les autres. J'ai ensuite écrit sur mon sac US "TELEPHONE"
: un nouvel amour mais celui là pour la vie.
Faute d'argent j'écoutais pour enregistrer à la radio sur
un radio réveil les morceaux, il y avait une radio locale qui diffusait
des albums au complet. Mon premier disque vraiment acheté l'album
"Un autre monde", après la séparation, envie de
rattraper le temps perdu...
Avec un peu plus de tune j'ai acheté tous les albums, ensuite avec
beaucoup de patience j'ai accumulé les objets livres, disques et
autres ; beaucoup d'autres choses d'ailleurs.
Quel est le premier concert que tu aies vu ?
J'ai raté de peu TELEPHONE à
Lille, après la séparation j'ai eu beaucoup de mal avec
cette histoire pour allez voir Jean-Louis. Mais pour l'album H qui colle
bien plus au premier album de TELEPHONE je me suis
décidé et à Lille ce fut la rencontre et jamais plus
je ne pourrais rater un concert. L'ancien aéronef m'a donné
des frissons sauf quand après une sonnerie de téléphone
dans la sono Jean-Louis a mimé sur scène de décrocher
un telephone, de le jeter par terre et la piétiné sauvagement.
Là j'ai eu un pincement au cur. Car pour moi à cette
époque Jean-Louis, c'était encore TELEPHONE.
Quel est ton album préféré
? Ben là très dur.
J'aime tous les albums, vraiment, mais je crois que mon sens critique
est fortement altéré.
Quelle est ta chanson préférée
? Ca dépend des jours, des mois, des années,
du moral, de la pluie ou du beau temps, si le vent souffle au nord ou
du sud, si je suis seul ou pas, si je regarde devant ou derrière
moi... Mais il y a une chose de certaine, Jean-Louis écrit comme
je le veux pour chaque instant de la vie.
Ce que tu as envie de dire à JL
? Simplement que tu es entré
dans ma vie comme un cambrioleur, pour me donner ce que tu as de plus
sacré : la vie, le bonheur, la révolte, l'amour, ta musique
et surtout tes textes.
Et si un jour tu passes par là en Artois arrêtes toi sur
la colline chez moi, regarde devant toi toute la lumière de ma
région, et retourne toi pour voir son autre visage dans le noir.
Parfois cest tellement beau que lon pourrait en faire une
chanson. Allez rendez vous là-bas, un soi,r au pied de notre belle
antenne, apportes ta guitare japporte les feuilles et un crayon
on va sécrire "Un tiote canchon"
Salut Jean-Louis.
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