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Aux balances que l'on pouvait entendre de l'arrière de la salle : Du bonheur au piano, Voyager en soi-même, Commun accord, Un autre monde, Je crois en tout, je n'croix en rien, Cette vie. De la version de Métro (c'est trop), avec ses quelques secondes de silence, ses grattages de gratte inhabituels... De la pédale californienne qui n'a pas encore son surnom et de son manuel de 450 pages. Après Un peu de ton amour, il explique : cette chanson c'était pour que mon père me dise qu'il m'aime, enfin le dernier couplet. Le premier c'était pour ma mère et le 2e pour mon amoureuse de l'époque. De la version de Locataire : avec ses rythmes, les strats de guitare, le piano, JLA qui tente de lancer les choeurs... une version longue et en recherche. Des premières phrases de Bateau sous la terre avant Solitude. Solitude faite sur la proposition d'une personne de la salle. Il avait une bonne idée nous avait-il dit, on ne saura jamais laquelle :-) De Commun accord avec une basse bouclée. De Jean-Louis qui s'écrie "ah je sais pas quoi faire ! Vous vous imaginez sur scène sans savoir quoi faire, c'est comme plonger dans l'abime !" Il entame "il n'y a que toi...", le public donnant la suite, il part... Mais demande au public de ne pas taper dans les mains ! :-)) Et puis la batterie "à la bouche".
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