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1 |
Le vaudou |
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2 |
Métro (c'est trop) |
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3 |
La bombe humaine |
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4 |
Au coeur de la nuit |
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5 |
Dure limite |
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6 |
Oublie ça |
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7 |
Le jour s'est levé |
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8 |
Qu'allons-nous leur laisser |
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9 |
Les plages |
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10 |
Locataire |
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11 |
Je t'ai dans la peau |
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12 |
Le jour se lève encore |
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13 |
Dis, quand reviendras-tu ? |
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14 |
Commun accord |
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15 |
Alter ego |
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16 |
Parle-moi |
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17 |
Temps à nouveau |
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R1-1 |
On aime |
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R2-1 |
Ailleurs |
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R2-2 |
New-York avec toi |
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R3-1 |
Voilà c'est fini |
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Par Isa le 31/01/2008
Il faisait froid quand nous sommes arrivés, il neigeait même, la file
d’attente était longue, longue… et le concert était prévu debout.
C’est pas tellement ce à quoi nous nous attendions mais bon… après moult et moult tergiversations, le retrait des places et une bonne dose de
chance, on se retrouve ASSISES, à notre place, en bout de rangée…
Lucie a senti le vent venir… « tiens toi prêta isa »… « croise pas tes
jambes » !!!! à peine Jean-Louis sur scène que des petits groupes de
personnes se tiennent debout prêt à bondir. En deux temps trois
mouvements une mini fosse se crée qui ne se rassiéra plus. Heureusement
nous avons eu l’impulsion.
Pas mal de temps s’était écoulé depuis un concert toutes les deux
ensembles, donc déjà présent, un ingrédient de notre gâteau de bonheur.
Nous partageons le même plaisir, la même émotion de voir Jean-Louis
arriver, de l’entendre une fois encore, comme si c’était la première
fois. Peu importe les titres nous avons l’ivresse.
Et à propos d’ivresse y’en avait un qui en tenait une bien bonne au pied
du micro, avec sa copine fan en pleine forme. Tous les deux biens agités
et bien bruyants, mais ils ont juste failli être trop….. ils ont demandé
fort un autre monde, Jean-Louis a hésité,
réfléchi, puis finalement enchaîné, c’était Oublie ça et c’était bon
mmm…
Par moment le public de cette fosse semblait un peu , comment dire…
bourrin « je crois » mais tout a bien coulé. Jean-Louis a serré quelques
mains tendues, répondu a quelques regards insistants, consolé quelques
pleurs et fait rêver quelques dormeurs…
Les anecdotes étaient bien rigolotes, ni trop ni pas assez.
Au final c’était encore pour moi, ce que j’étais parti chercher, un
moment de Bonheur.
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