affiche

un tour sur moi meme aubert

 
setlist

etoile 1 Le vaudou
etoile 2 Métro (c'est trop)
etoile 3 La bombe humaine
etoile 4 Attentat
etoile 5 Oublie ça
etoile 6 Le silence
etoile 7 Le jour s'est levé
etoile 8 Ca (c'est vraiment toi)
etoile 9 Les plages
etoile 10 Locataire
etoile 11 Ils cassent le monde
etoile 12 Le jour se lève encore
etoile 13 Dis, quand reviendras-tu ?
etoile 14 Commun accord
etoile 15 Alter ego
etoile 16 Parle-moi
etoile 17 Temps à nouveau
etoile R1-1 Sex machine + Alta Gracia
etoile R1-2 Ailleurs
etoile R1-3 New-York avec toi  
etoile R2-1 Un autre monde
etoile R3-1 Voilà c'est fini

 

 


souvient

etoile De Jean-Louis qui juste avant La Bombe Humaine nous explique qu'il n'est pas en Playbac, et developpe son idée en parlant de Lorie.

etoile De la version Le silence : travaillée, avec une boucle de basse

etoile Du bout de Satisfaction en fin de Ca (c'est vraiment toi).

etoile D'un tout petit bout acapella de L'aigle noir avant Dis Quand reviendras-tu ?

etoile De la version spéciale de Temps à nouveau : un peu en vrac !:-))

etoile De Alta Gracia dédiée à Mamie Jeannette.

etoile De Jean-Louis qui tente l'enregistrement du public sur les "Danse ! Danse !" sur Un autre monde, mais ça ne fonctionnera pas.

la place

le site de la salle

 

setlist
Par Fred D

4eme concert de la tournée pour nous, après l’Européen, Colombes et le Casino de Paris.
Comme d´hab, le concert démarre sur Le vaudou et Métro et Rueil est déjà très chaud.
JL se montre volubile, au début, a envie de deconner. Pas mécontent de son effet sur les vannes sur Lorie (mais faisant mine du contraire...), JL décide de «s’auto discipliner». A ce moment là, on l’ignore encore mais JL restera sérieux pour de vrai...
La bombe humaine suivi malgré l’offense faite à Chronos, naturellement, d´«Attentat», sorti de la guitare dans une version exceptionnelle, je trouve. L’une des adaptations les plus difficiles à l’exercice tout acoustique, donc chapeau bas. Après cela, «Oublie ça», l’ex-titre méconnu, balancé un poil plus tôt que prévu laisse penser que JL veut faire lever l’audience de son siège. A peine remis de la première surprise, l’effet «2e lame» avec «le Silence». Dixit l’auteur «Une chanson d’Au coeur de la nuit que j’aime beaucoup». Parce que déjà jouée sur d’autres tournées, une surprise certes moins grande mais quelle version !!! Où l’Echoplex prend sa saveur quand JL se coupe en trois. Une ligne d’accords de guitare acoustique, une ligne de basse, une ligne guitare solo, version bluesy bottleneck. Le pied !
Encore une fois, c’est difficile d’admettre que JL ne se lance pas sur plus de titres quand on voit ce résultat. J’ignore le temps que ça prend de répéter et de mettre en forme une version pareil mais je dis....encoooore !!!
«Le jour s’est levé» au piano, histoire de rentabiliser l’instrument (un seul titre ce soir). Puis JL réclame un titre, qui mette l’ambiance. Mumu suggère «Juste un autre genre». JL pouffe. La salle suggère «Cendrillon». JL «Ah, bon Cendrillon ça met l’ambiance ?». Il trouvera tout seul : la musique du Crédit Agricole ! «Ca» version à fond les manettes, la salle debout. Qui finit par entonner «Jean-Louis président». Lui amusé «Du moins, j’en ai la taille». Si c’était leur seul point commun... ;-))) JL s’essaye à un énigmatique «non il est bien notre président ?», salué d’une bronca, JL ne poursuivra pas. Assez étrange réplique...
Transition logique ou pas «une histoire d’émigrés» : «Les plages», JL très solennel pendant la chanson et entre les titres. «Locataire», «Ils cassent le monde» version encore plus voice over que d´hab `, «Je n’ai pas rencontré Boris Vian mais j’ai rencontré une grande dame». Quelqu´un dans la salle hurle « Lorie » qui vaut bien celui qui à St Amand avait hurlé « Ma mère ». «Le jour se lève encore» donc, une intro un peu ratée et la voix un peu à coté. « Dis quand reviendras tu ?» Solennel aussi. «Commun accord», un des nombreux titres ou j’admire le jeu au pouce de JL. Quasiment jamais le médiator, surtout sur la 12 cordes. «Alter ego», «Parle moi», «Temps à nouveau». Planté à cause d’un public trop enthousiaste qui prend JL au dépourvu avec des «Beau temps pour se jeter à l’eau» qui arrivent bien trop top. JL essaye d’improviser, essaye son Echoplex dans tous les sens. Comme quoi même le morceau le plus joué peut se retrouver planté. Premier rappel : JL revient avec un Ukulélé, entonne Sex Machine, puis dédie « Alta gracia » à Mamie Jeanette. Des les premiers accords, il précise même «c’est bien pour vous faire plaisir Mamie Jeannette». Petite précision : JL joue à domicile, famille et amis à proximité, puisqu’habitant non loin de Rueil (bon, je ne dévoile pas un scoop, c’est lui qui l’a dit...)
Après Cuba, la Jamaïque : «Ailleurs» (je ne savais pas que le fameux Ailleurs était de ce coté des Caraibes). «New York avec toi» puis parti pour «Voila c’est fini», JL passe par «Un autre monde» qui lui est demandé. Il finira encore une fois par le «voila c’est fini», magique qui se clôt en apothéose sur le solo final. Pour finir, des quatre concerts vus, le plus impec musicalement. Je regrette la faible part des récits entre les titres. Et oui, au bout de 4 concerts, quand les anecdotes ne se répètent pas encore trop, ça me fait encore marrer...

PS : pour le(s) point(s) communs entre JL et Sarkozy, je ne pensais pas au fait qu’ils avaient grandi à Neuilly ;-)))

setlist
Par Patricia

ous voilà toutes 2 devant le théâtre – Place des Arts – vers 20h. Je stresse un peu quand même « à cette heure là, nous serons derrière pour sûr ! ». L'endroit est calme au dehors… je me dis « mince, ils sont tous à l'intérieur ! ». Hall très spacieux. « Jean-Louis Aubert en Acoustique – Spectacle de 1h30 » (mais bien sûr !)
Plouf Plouf, on choisi le côté Pair.
Je trouve ce théâtre André Malraux très chic -surtout après être passée dans le « hangar » de Gennevilliers vendredi dernier ;-) – façon amphi – des beaux sièges rouges qui ont l'air douillets…
On se « coince » (surtout moi avec mes 1m80 !) au 9ème rang, côté droit : belle perspective. Donc, de là, je vois très bien le piano noir brillant, les 3 guitares, les pédales multi-fonctions, le xylo barbecue (j'en appelle aux connaisseurs !), les percussions électroniques. Concert prévu à 20h45 ; on approche du beau moment mais je trouve l'ambiance un peu coincée – comme moi dans mon fauteuil ! je sors mon stylo et mon papier (je vous avais dit que je prendrais des notes…).
Les lumières se tamisent… j'ai mon petit cœur qui bat… ça paraît presque un peu bête, après toutes ces années, mais pourtant si, toujours le même frisson, la même émotion… arf ! il n'y a pas d'âge pour vibrer !
Les applaudissements se déchaînent dans le noir… quelques « Jean-Louis, Jean-Louis » s'éparpillent difficilement… de l'endroit où nous sommes, je suis obligée de dire à Marie-France que ce qu'elle voit sur l'écran, ce sont des pieds qui marchent… Et le voilà ! je le re-découvre, pour cette deuxième fois, dans cette tournée : Jean-Louis, je le trouve superbe vraiment ! quand je le regarde dans cette tenue noire, pantalon ample, avec sa ceinture un peu country-rock, ses pieds nus, ses cheveux tout fluides dans ses yeux tout doux, il m'apporte une magnifique quiétude à l'intérieur de
moi… je me pose, je me repose, avec lui, grâce à lui. Le Vaudou / Métro c'est trop. Et l'histoire qu'il commence à nous raconter… il y a des habitués dans la salle (je me sens concernée même si… car Genevilliers est tout frais pour moi)… donc ensemble sur la « bite d'amarrage », ensemble à Ibiza, nus dans la grotte, ensemble sur Téléphone, ensemble avec le grand gourou, nous faisant l'excellentissime « ic-rem » avec son jeu de pédales californiennes x-complex trouvé sur e-bay (nan ! pas sur meetic )) venu dans son carton avec sa notice de 550 pages tout en américain… Les tonalités suaves de la voix de Jean-Louis me transportent ; il a l'air en forme le voyou. La Bombe Humaine : Jean-Louis nous a parlé de sa « copine » Lorie ; Lorie qui aurait avoué lors de la tournée des enfoirés qu'elle ne chantait qu'en playback ; et Lorie qu'il aime bien, enfin « moins depuis qu'elle est mariée » ))) sacré Jean-Louis ! Après, Jean-Louis se mélange un peu les pinceaux mais ce n'est franchement pas pour nous déplaire quand il nous lance Attenta. Je me revois dans Idéal Tour sur cette chanson qui me mettait limite en transe avec toutes les lumières rouges de partout… cette version là est plus cool mais elle vous transperce quand même de part en part ! Puis Oublie ça et les premiers rangs qui sortent d'eux-mêmes ; je comprends donc que le démarrage des percussions aux rythmes endiablés rime avec un « je me lève » général ;-) Jean-Louis écourte un peu son histoire mais nous offre une sacrée belle surprise avec Le Silence et son soleil dans notre tête ; c'est vraiment sympa ce style enregistré qui permet à notre Jean-Louis de lancer les notes de basse, puis de faire des solos guitare alors que toujours « le soleil dans la tête… ».
Nostalgie avec Le Jour s'est levé (cette fois, Jean-Louis ne nous parlera pas de son barbu trentenaire de petit Arthur…) ; cette chanson me rend morose ; elle me rappelle trop la fin d'une belle époque où j'étais jeune et insouciante (quoi ? qui a dit ça ?). Allez restons positifs, la fin de Téléphone, c'est quand même le début d'autres très belles époques ! et puis après tout, ils sont toujours là ces 4 petits coquins, ensemble ou séparés, peu importe, ils sont
là ! et nous aussi on est là ! Et puis CA ! et tout le monde est debout dans la salle… moi j'ai mis un peu le temps (1m80 !!!) et puis j'y tiens plus ! me voilà debout aussi ! je surplombe de mon 9ème rang et c'est vraiment top méga Tout ! CA c'est vraiment lui / vous / nous et Jean-Louis enchaîne avec Satisfaction (arf ! que ça lui va bien !). C'est le moment Réflexion, l'histoire des petits jeunes qui ne sont pas heureux là où ils sont, et qui décident d'aller faire le tour du monde pour voir si c'est mieux « ailleurs », et puis qui reviennent « vieux » là, à cet endroit d'où ils étaient partis en se disant que tout compte fait, c'est pas si mal là où ils étaient… et qui nous emmènent sur Les Plages (je me tourne vers Marie-France « aaahhh, j'adore cette chanson ! »).
Avec lui les Locataires, Jean-Louis met le feu, joue du piano debout ( !), et se trouve possédé d'ondulomanie (ahlala qu'il ondule bien le bougre ! oui je sais j'ai inventé ce mot lol). Je persiste à dire que je trouve cette version un peu longue, mais bon, faut pas rêver hein, j'ai aimé quand même à grands coups « de ce côté » et « de l'autre côté » et de « Bleu, Blanc, Vert ». « Je t'aime comme j'aime la vie » sur Ils cassent et Jean-Louis cite Ingrid Bétancourt, Bertrand Canta, et même « la StarAc, c'est distrayant » ( ? j'aime la Télévision ?) (je me tourne vers Marie- France « aaahhh, j'adore cette chanson ! »). Jean-Louis chuchotte, Jean-Louis fredonne. C'est joli. C'est doux. J'Adore. Voilà c'est tout.
Que fais-je à ce stade ? j'abrège ? sinon ça va faire 10 pages ? Bon allez, je continue : c'est l'hommage émouvant à la grande Barbara - Le jour se lève encore – un soupçon de l'Aigle Noir – Dis quand reviendras-tu ? Je suis scotchée, je bois ces/ses paroles, des larmes coulent sur mes joues… rien à rajouter…
Comme un Accord vient sécher mes larmes… il est trop marrant Jean-Louis avec ses jets de bras vers nous pour nous lancer sur le refrain tel un chef d'orchestre… et tout le monde suit bien « sa » mesure à flots de « na na na » - même qu'on est enregistré dis donc ! trop fort !
Je sors à nouveau mon kleenex sur Alter Ego (un clin d'œil à ma sister de Merry ;-) ; la mélodie à l'harmonica est enivrante… (je me tourne vers Marie-France « aaahhh, j'adore cette chanson ! »).
Parle moi et Temps à nouveau : ces deux là se font encore debout, les bras en l'air, les mains jointes, les pieds qui battent la mesure.
Et Jean-Louis quitte la scène… mais moi je sais très bien qu'il va revenir… Je suis assez surprise car la salle –par rapport au début- est carrément survoltée, et ça, ça me plait bien mieux.
Revoilà notre Jean-Louis muni d'un youkoulélé et de son harmonica, assis, en train de nous enthousiasmer sur Sex Machine. Tiens, ben ça me renvoie direct sur mes samedis soirs tard (quand j'étais jeune et insouciante !) et que je regardais les Enfants du Rock à la TV…vous vous rappelez ? Philippe Manœuvre, Fifi… Alta Gracia « pour faire plaisir à Mamy Jeannette » ; c'est étrange car à l'écoute de l'album, je n'apprécie pas trop cette chanson, mais là, en fait, je me dis que j'aime bien… j'ai super envie de me trémousser sur ce morceau cubain… Jean-Louis nous a joué un de ces drôles d'instruments (j'en appelle aux connaisseurs !) : un espèce de tamis-tambourin avec des cordes et qui donne comme un son de harpe ! trop sympa ! En tous cas, Jean-Louis a des ailes et il me donne l'impression d'un
professeur Tournesol « léger, léger, léger » en train de faire sa magie. Et du coup, ben je vole aussi ! et je voyage avec lui et avec vous dans ce monde Ailleurs ; et aussi à New York… avec toi.
Rappel 2 toujours aussi survolté : Jean-Louis nous fait genre « je n'ai plus de chanson »… mais bien sûr ! j'ai presque honte car il y a toute une bande autour de moi qui hurle « Cendrillon » (mais zont rien compris ceux-là ! hého ! Cendrillon, c'est Berti ! c'est Louis qui la chante ! ho hé hein bon !).
J'avais ouï-dire qu'ils avaient déjà fait ce coup là en novembre dernier…nan dedjou !
J'ai essayé de demander Jour contre Jour comme à Genevilliers mais un Homme a crié plus fort que moi « emmène nous dans Un autre monde » et nous y sommes donc allés, grâce à toi Jean-Louis. Et puis Voilà… No comment.
23h00 passé je crois !? "1h30" ça va trop vite !;-)
Merci Jean-Louis ! et au prochain tour ;-)

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